« L’écriture graphique, aiguisée, subjugue jusqu’à la chute finale. De la poésie, du suspense, une énigme haletante, des personnages hauts en couleur, des jeux de miroirs en cascade, de la sensualité, j’ai dévoré ces 450 pages en ….un clin d’oeil. »
Les Fleurs jumelles de Philippe Nicolas dans ESSEC Alumni : « Mon roman va plaire aux amateurs de tech et de fusac (…) Lorsque j’ai commencé à écrire Les Fleurs jumelles, l’iPhone n’était pas encore sorti. Vous verrez que mon roman était visionnaire sur ce point et qu’il le reste sur bien d’autres, avec des produits que les GAFAM développent actuellement. Je suis fasciné par l’impact qu’a le digital sur nos vies. »
« Philippe Nicolas a donné corps dans son roman à une vertigineuse intrigue aux allures de kaléidoscope, (…) jouant sur les illusions d’optique et la frontière entre réalité et fiction. »
L’Est Républicain
Le lecteur est « plongé dans les univers mêlés de la grande finance, des startups et de l’innovation, avant un dénouement aussi inattendu que poétique. »
L’Est Républicain
Vertige d’intrigues de Fleurs jumelles dans l’Est Républicain
Les mystères de l’art et de ses émotions avaient tissé la trame invisible de son précédent ouvrage « Les âmes peintes ». Tout en restant fidèle à cette écriture nourrie par les images qui scelle son style, le Nancéien Philippe Nicolas s’aventure cette fois sur la thématique en corollaire, en jouant sur les illusions d’optique et la frontière entre réalité et fiction.
À 53 ans, celui qui affiche un parcours défini par un indéniable éclectisme et une manifeste curiosité d’apprendre – il fut, entre autres, coprésident du journal « Libération », directeur du centre national de la chanson, conseiller de plusieurs ministres et fondateur de start-ups – plonge son imagination dans le magma d’un univers de sons et de lumières, qui font de New York une cité magnétique.
Les 450 pages des « Fleurs jumelles » (Editions Cohen et Cohen) immergent ainsi le lecteur dans un univers flamboyant, où se reflètent dans les vitres des buildings les traces du vécu américain de l’auteur, autrefois passé par ENA (Ecole Nationale d’Administration) et Essec (école de commerce) en ses jeunes années avant de sillonner le monde.
Au fil de cette énigme, le verbe se fait chair, les pistes se multiplient et se dérobent autour de Paul Askins. L’inspecteur tente d’élucider les mystères de chutes mortelles simultanées du haut de buildings, de deux grands patrons. Au rythme d’une bande-son éclectique qui emprunte à U2, Gainsbourg ou aux mélodies du jazz, Philippe Nicolas bouscule les perspectives, rapproche fiction et réel. Cependant que New York fait écho au gigantisme américain, pour un lecteur plongé dans les univers mêlés de la grande finance, des startups et de l’innovation, avant un dénouement aussi inattendu que poétique.
Oublié le huis clos horizontal du Louvre et de sa grande galerie décrit dans les « Ames peintes », le récit nous emmène cette fois en plein air, où les buildings ont des chutes sublimes et énigmatiques. « Écrit-on pour savoir qui l’on est ? Je ne suis pas loin de penser qu’on le fait pour ne pas savoir, au contraire » s’interroge l’auteur, dont le CV retient qu’il reçut en d’autres temps les insignes de l’Ordre des arts et des Lettres et de la Légion d’honneur. Sans qu’on lise, pour autant, une fierté ostentatoire chez le récipiendaire.
Actif et exposé le jour, seul et concentré sur soi, le soir, à la lueur de sa lampe d’architecte : en Lorraine, où réside toujours son père à Pont-Saint-Vincent, Paris où il travaille désormais au Ministère des Finances, ou en Touraine où il a fait le choix de poser ses valises, Philippe Nicolas a donné corps dans son roman à une vertigineuse intrigue graphique aux allures de kaléidoscope.
L’auteur sera présent au Livre sur la Place à Nancy. « Les échanges avec les lecteurs et le public nourrissent toujours mon plaisir. Surtout quand j’entends des interprétations et des propos qui attestent que le récit a pu être perçu de manière différente de ma perception. Cette diversité est une vraie richesse ».
« Âgé de 53 ans, Philippe Nicolas a grandi en Lorraine près de Nancy avant de partir faire ses études à Paris. Son parcours personnel professionnel est un modèle (rare) de diversité. Il a vécu à New York et travaillé pour l’ONU (Organisation des Nations Unies). Entre autres étapes de ce riche maillage d’expériences s’ajoute la création de start-ups dans le milieu musical mais aussi dans les médias (France Télévision, Libération).
Parmi ses motivations personnelles, la perception de l’émotion procurée par la création, artistique notamment, auprès de l’individu. Il est également très sensibilisé à l’impact des nouvelles technologies dans la vie quotidienne. Son premier ouvrage « Les âmes peintes » a été salué par la critique. Après les « Fleurs jumelles » son troisième roman devrait bientôt paraître. »
Les Fleurs jumelles de Philippe Nicolas dans la Nouvelle République :
« Écrire pour que le monde soit plus beau qu’il n’est vraiment »
Philippe Nicolas
Les Fleurs jumelles de Philippe Nicolas dans la Nouvelle République :
« Né en Lorraine, Philippe Nicolas a vécu en Touraine une vingtaine d’années. Léonard de Vinci qui vécut les dernières années de sa vie au Clos Lucé d’Amboise, était protagoniste de son précédent roman, Les Âmes peintes.
Il publie ces jours prochains Les Fleurs jumelles. Une aventure policière, amoureuse, et technologique qui se déroule à New York. Le fondateur d’un géant mondial des smartphones et le président d’un groupe d’optique tombent au même moment de deux angles opposés de la terrasse d’un building… L’auteur emmène le lecteur sur les sites incontournables de la « grosse pomme », avec des descriptions fidèles.
Philippe Nicolas a travaillé un an à New York, qu’il trouve « fantastique ». À Paris il fut le conseiller budgétaire du ministre des finances, mais New York lui manquait. Marqué par l’attentat sur les tours jumelles, il eut l’idée d’y planter son prochain roman, un thriller. Mais parce qu’il dit vouloir écrire « pour que le monde soit plus beau qu’il n’est vraiment », il a reconstruit à cet endroit le complexe des Fleurs jumelles. »
Les Fleurs jumelles au Chien Jaune : le nouveau roman de Philippe Nicolas est présenté en exclusivité au festival du polar de Concarneau qui se tiendra du 23 au 25 juillet, soit un mois avant leur sortie en librairie
« Ce livre sur la Joconde est beau, poétique et romantique, il interroge fortement (…) Philippe Nicolas présente en outre en exclusivité son dernier opus, les Fleurs jumelles »
Le Télégramme
Les Fleurs jumelles au Chien Jaune dans Le Télégramme :
« L’édition 2021 du festival du Polar a ouvert ses portes, vendredi, avec une vingtaine d’auteurs pour la plupart jamais invités sous le chapiteau du Chien Jaune. C’est désormais la marque de fabrique de l’association : faire découvrir des écrivains de qualité, chaque année différents.
La rencontre programmée samedi, à 14 h 30, à la Chapelle, avec les écrivains Harold J. Benjamin et Philippe Nicolas, animée par la lectrice passionnée Françoise Bercovici figure parmi les événements que préconise sans détour Mijo Letourneur, présidente du Chien Jaune. « Le thème est le noir autour de l’art », souligne la Concarnoise.
Dans son roman intitulé « Les Âmes peintes », Philippe Nicolas plonge les lecteurs dans l’univers du Louvre et dépeint une autre facette de Mona Lisa. Il présentera en outre en exclusivité son dernier opus « Les fleurs jumelles ». « Son livre sur la Joconde est beau, poétique et romantique. Il interroge fortement », note la dirigeante associative qui met un point d’honneur, comme le reste des douze membres du comité de lecture, à livre les derniers ouvrages des auteurs invités à son festival. »